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ikofanu around the world

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25 septembre 2009

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1 août 2009

video

18 septembre 2008

24 ore alla velocità di un bike messenger

18 septembre 2008

Quick silver, soldi senza fatica

15 septembre 2008

Un nuovo blog pre-professionale

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15 septembre 2008

Musica nuda...

15 septembre 2008

Flyer pre-event FREE RIDE A BARI Last edition

BARI BICI PROJECT

-CHECK POINT MESSENGER-

FREE RIDE IN CITTA’ “Alla scoperta della città”

Una bici, una penna e il tuo cervello

Domenica 28 Settembre 2008 Piazza Libertà (Prefettura)

15:00 – Iscrizione e presentazione

16:00 – Partenza dei partecipanti

18:00 – Fine della corsa, risultati e festa

Offerta libera

Per informazioni e prenotazioni : ikofanu@gmail.com / 328 328 71 39

14 septembre 2008

Una donna, una bici... Che altro?

9 septembre 2008

BARI BICI PROJECT

BARI BICI PROJECT

-CHECK POINT MESSENGER-

“Alla scoperta della città”

FREE RIDE

IN CITTA’

Un casco, una penna e  il tuo cervello

Domenica 28 Settembre 2008

Piazza Libertà (Prefettura)

15:00 – Iscrizione e presentazione

16:00 – Partenza  dei  partecipanti 

18:00 – Fine della corsa e risultati

Per informazioni e prenotazioni :

ikofanu@gmail.com / 328 328 71 39

8 septembre 2008

Tacco d' Italia, Salento

P9071387

P6290421

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4 septembre 2008

Giro della città

Oggi, tra strade e cavalcavie, me ne vado ma non lontano, qui vicino, proprio dentro la città che è diventata la mia. Bari la piatta, Bari la trafficata, Bari la vecchia, ma Bari mia. Adesso. Con la mia bici, sono riuscito ad avere una bella idea di una città che era per tutti stranieri, sia una sconosciuta, sia un inferno. che sarebbe la stessa cosa secondo Jean Paul Sartre...

Eppure si è sbagliato, e lo ripeto come sempre : L'inferno non è "gli altri", ma piuttosto il loro proprio ritmo. Per questo, giro, giro, giro. Per trovare il ritmo piu piacevole, e piu umano. E pedalo, e pedalo su me stesso, e anche dentro me. Mai fuori. Per conoscere questa città, devi iniziare dalle sue viscere, come tutte le metropoli europee finalmente. Fuori zona, non è piu Bari. Un altro dialetto, un altro paesaggio. un altro scopo. Viaggiare. Ma se è vero che bari è l'anti viaggio, io chi sono?

3 septembre 2008

Hermes, tra suolo e sole, de la Terre à la lune

3 septembre 2008

Envie d'écrire... à nouveau!

Des pages vierges, des morceaux de papier. L'automne peut-etre, avancée.

J'ai envie d'écrire à nouveau, una "voglia" pressante, pourtant sans matérialité.
Encore. Ecrire pour vider mon esprit et remplir le temps, tels des vases communicants.
Relire Spinoza, le rejeter pour mieux l'ingurgiter à nouveau. Phénix désacralisé.
Simple volatile enflammé, duquel je prendrais plaisir à saler la queue,
juste pour experimenter un peu d'eternité. Et pour mon salut, peut-etre, avancé.

3 septembre 2008

Why I love Urban Bike...

31 juillet 2007

Le métro Parisien vu de Bruxelles!

10 juillet 2007

A Filetta


A Filetta
Vidéo envoyée par daniela-lucie
===== Photos de la Corse © http://www.l-invitu.net/ Remerciements : L'invitu - U situ di i Casanova ===== U lamentu di Ghjesù. Traduction : Jean-Claude Casanova Extrait de : "Passione", Olivi Music ===== 6 voix : Jean-Claude Acquaviva - José Filippi - Jean-Luc Geronimi - Paul Giensily - Jean Sicurani - Maxime Vuillamier. ===== Créé en 1982, ce chant implore le pardon et dit toute la douleur de ceux qui veillent le Juste martyrisé... ===== O toi qui dors dans ce sépulcre Après avoir enduré coups et blessures ! Après d’atroces tourments Tu as aussi perdu la vie. Aujourd’hui tu reposes en paix La souffrance te quitte. Mais je suis dans un feu ardent Je brûle et je gémis Chacun peut m’entendre Je sais les lamentations de mes disciples Et d’une Mère éplorée. Je crie vers l’Eternel, Qu’il se souvienne de l'Innocent Et c'est ainsi qu’avec un esprit féroce Par tant de coups et une violence atroce Cloué par les mains et les pieds Ceux-là t’ont mis en croix. O Dieu de tant de souffrances, Fais que j’entende ta voix ! Aujourd’hui pour toujours Tout semble prendre fin. Tu es mort, Maintenant le drame s'achève. Désormais à Jérusalem Tous se sont dispersés pleins de honte Mortes la Foi et la Vie !
28 juin 2007

NICOLAS SARKOZY, SEGOLENE ROYAL et FRANCOIS BAYROU sont dans un bateau...

D'après vous, qui manque-t-il?

Ben vous, bien sûr!

Vous, le peuple, qui larmoyait à la moindre occasion.

Vous, qui croyez sans croire vraiment à notre statut de citoyen, et qui prônez sans conviction la liberté (j'ai des droits à preserver, dont celui de consommer, d'être représenté et surtout de travailler et d'être informé, peu importe comment..), la fraternité (la solidarité, c'est pas si mal) et l'égalité (disons la parité, c'est déjà bien)...

Vous, qui acceptez notre démocratie dans l'état où elle est aujourd'hui, une démocratie d'occasion, sans garantie, mais décôtée aussi, où l'argus est calculé au prorata de votre compte en banque, de votre niveau social, mais surtout, à la taille de vos dents...

Mais vous qui les avez voté finalement ces gens qui nous représentent soi-disant, d'une manière ou d'une autre, un peu partout en France et en Navarre, aux présidentielles et aux législatives (Un instant les mots "national, division I et II" m'ont frôlé l'esprit...). Vous tous représentez la France, et ils (ou Il) vous représente.

Vous, tous?

NON!

Non,car Un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Et la vie n'est pas facile pour les garnisons de légionnaires romains ...

Ces résistants sont appelés abstentionnistes dans un monde persistant où la notion de démocratie divise plus qu'elle ne rassemble, où la règle est de plus en plus visiblement"cause toujours ou ferme ta gueule" (on le voit aujourd'hui avec la ligature des trompes de l'information pratiquée en chirurgien raffiné par notre César national!) et dans laquelle on ne voit pas d'issue favorable à ce qui nous est cher, forçant certains à baisser les bras, et d'autres à relever les manches pour faire face fièrement, non à leur nation, mais à leurs rêves, leur éthique de citoyen et leur condition humaine.

A ceux qui liront les trois textes qui suivent, je prie d'excuser les idées qu'ils exprimentet qui peuvent vous heurter, mais qui sont les miennes pourtant, par conviction, par éthique et après reflexion sur moi-même, sur la société dans laquelle je vis et sur ce que je veux réellement d'une société. Je ne cherche plus à convaincre, mais à défendre mes idées désormais.

Bien à vous.

Alain Sabatier

28 juin 2007

L’abstentionnisme, ou la voix du peuple qui ne compte pas.

Le peuple sans voix. C’est celui qui se tait, qui se fiche de la politique, mais aussi celui qui est muet, et celui qui hurle aphone mais qui n’est jamais entendu.

Celui enfin qui voudrait dire, mais qui ne pourrait dire que l’absurde :

« Je veux voter pour l’abrogation du droit de vote. »

D’autres acceptent négligemment d’aller voter pour dire qu’ils sont contre, sans qu’on leur fasse aucun reproche, d’ailleurs !

Certains encore votent comme on va à l’abattoir, parce qu’il faut y aller, et ont choisi le moindre mal, le plus démocratique, leur semble-t-il.

De même pour ceux qui votent sans savoir vraiment ce que cela représente, si ce n’est une issue politique pour cinq ans, un nouveau mandat politique ; à eux, leur seule liberté démocratique sans doute, la seule qu’ils puissent se permettre, influencés qu’ils sont par ailleurs par les mass-médias. Dans l’isoloir, pas de télé…

Ce document a été écrit en faveur de l’abstentionnisme, pour une réhabilitation du droit en démocratie, pour une démoralisation de la pratique citoyenne, et pour un véritable engagement politique du peuple.

SOMMAIRE DE L’OUVRAGE A VENIR

I.               Abstention et abstentionnisme

II.            Une documentation bibliographique sur l’abstentionnisme

III.                La démocratie en question

IV.                La notion de vote : Choix, droit, devoir ?

V.             Le non-vote, choix ou risque démocratique ?

VI.                Le vote,  quel outil démocratique ?

VII.             L’abstentionnisme, un nouvel élément de politisation du peuple?

VIII.         La politique, un devoir ?

IX.                La démocratie, une utopie à construire et non à stabiliser

X.             Des propositions utopiques de développement démocratique 

               

28 juin 2007

BIS REPETITA!

« Science sans conscience

N’est que ruine de l’âme. »

      

Montaigne

A ceux qui ont voté parce qu’il le fallait.

« Es muss sein, es muss sein »

composait déjà Beethoven

dans le dernier mouvement de son dernier quatuor.

« Muss es sein ? » (Kundera, l’insoutenable légèreté de l’être, p.52, folio)

Aux esclaves des Temps modernes, esclaves de leurs libertés, de quoi sont-ils esclaves en fait ? qui dicte leur pensée emmitouflée ? On ne le sait…

Comment ont-ils analysé leurs choix avant de se prononcer ? comment ont-ils critiqué l’information qui leur a été transmise, infusé plus que diffusée ? quels sont les outils de ces soi-disant citoyens ? sont-ils aussi démocratiques qu’ils se veulent ? quelles méthodes ont-ils utilisé pour venir à bout des doubles langages, des effets de langues de bois, et autres complications linguistiques ? à vrai dire, il m’est d’avis que tout cela s’est fait par la force des choses, c’est-à-dire de manière inconsciente puisque personne ne saurait nous donner aujourd’hui les réponses aux dites questions. La politique pour le peuple n’a rien d’empirique, de scientifique. Elle ne se matérialise pour eux que par le vote, moyen d’expression ultime, assimilable à un devoir autant qu’à un droit. Qu’est-ce d’autre alors, la politique, sinon un ensemble de partis protéiforme, associés à un ensemble d’idées caractéristiques, et même bien souvent emblématiques, pour lesquels nous exprimons notre consentement à une délégation de notre pouvoir politique (dont nous n’avons d’ailleurs plus réellement conscience), et à partir desquels nous comptons sur une représentation politique par l’application du programme pour lequel nous les avons élu, en symbolisation de l’esprit politique associé.

En clair, délégation de pouvoir pour un vote. Quelle est donc la valeur de cet outil qu’on dit encore démocratique ? la démocratie actuelle n’est-elle pas aujourd’hui devenue l’acceptation de sa condition apolitique ? (privation de droits politiques). Il est vrai que ce seul droit politique qui est de nous dépolitiser permet encore le choix de celui qui nous représentera tous, mais il est aussi une concession entre tous, et en mécontente autant qu’il en contente (P. Bruckner). Et aujourd’hui, autant qui méprisent ce mode politique sans pour autant désapprouver la démocratie, puisqu’ils sont désormais plus d’un tiers à ne plus voter et continuent malgré tout à participer pour certains aux débats populaires, à s’informer politiquement, malgré surtout l’avis de ceux qui se disent les vrais citoyens, les votants, et qui voudraient bien ostraciser, et le font de fait,  ceux qu’ils disent les assassins de la démocratie… (étude sur la mort de la démocratie antique par ostracisme)

Mais qui sont les assassins justement ? ceux qui veulent le débat et refusent de dire oui à tout et prennent le droit de dire non ? ou bien ceux qui supportent des politiciens pour qui ils ont décidé de transférer toute compétence politique, même celle de la réflexion ? (cf. la défaite de la pensée, Finkielkraut) ; avec les vrais choix, leur liberté et leur asservissement.

« Voter, c’est mourir un peu. »

A bon entendeur,

Alain Sabatier

28 juin 2007

Le vote obligatoire, pour quoi faire?

En France, l'inscription sur les listes électorales est obligatoire, mais le vote ne l'est pas. En effet, l'obligation de voter s'applique uniquement pour les élections sénatoriales, les grands électeurs qui s'abstiennent sans raison valable étant condamnés au paiement d'une amende de 4,57 €.

Face à la montée du taux d'abstention, plusieurs parlementaires appartenant aussi bien à la majorité qu'à l'opposition ont, au cours des derniers mois, déposé des propositions de loi tendant à rendre le vote obligatoire :

- M. Dominique Paillé, député de l'Union pour la démocratie française (UDF), le 30 décembre 2002 ;

- MM. Laurent Fabius, Jean-Marc Ayrault et Bernard Roman, députés socialistes, le 23 janvier 2003 ;

- M. Charles Cova, député de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), le 5 février 2003.

Un certain nombre de pays ont adopté l’obligation de participer au vote. L’exemple de la Belgique est intéressant. Ainsi, un électeur belge qui ne participe pas au vote commet une infraction. Les sanctions sont variées : une réprimande officielle doublée d’une amende (25 à 50 euros la première fois et 125 euros en cas de récidive), auxquelles s’ajoutent des mesures administratives en cas de récidive s’apparentant à des sanctions (mention du nom de la personne sur un tableau d’affichage, radiation des listes électorales pour dix ans, impossibilité d’être nommé, distingué ou promu par les pouvoirs publics...).

Si l’efficacité de la méthode semble avérée (en Australie, le taux d’abstention était de 40 % en 1922 ; après l’instauration du vote obligatoire, elle n’était plus que de 8 %), on peut en revanche émettre des doutes sur son impact sur les causes profondes de l’abstention électorale. Certains pays, comme l’Italie, l’ont d’ailleurs abandonné.

Dans les pays où elle subsiste, l'obligation de voter est ancienne : elle remonte à la fin du XIXe siècle ou aux années vingt. Inversement, les Pays-Bas l'ont supprimée en 1970, le canton suisse de Berne s'est opposé à son introduction en 1999 et elle fait l'objet de critiques croissantes en Australie, où les abstentionnistes se multiplient et refusent de payer les amendes.

L'introduction d'une telle disposition en France ne s'inscrirait donc pas dans un mouvement général.

A suivre...

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